À Noël, vous allez forcément en manger…

© C. Lebrun

Du saumon fumé

Il y a de fortes chances pour que vous ayez sur la table de fêtes de fine tranches de saumon fumé disposées sur des blinis tièdes, parsemés de sauce tzatziki (ou bien une sauce maison : crème fraîche, aneth, jus de citron, un peu de moutarde, sel et poivre). Pour varier la présentation, optez pour des verrines de saumon fumé avec du fromage blanc et des dés de pommes Granny Smith. Autre tendance : du saumon fumé roulé façon makis et garnis de riz et d’avocat et servi avec de la sauce soja.

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Des huîtres

La fameuse bourriche d’huîtres est indissociable de la cuisine de fin d’année ; c’est d’ailleurs à cette époque que la plus grande partie de la production annuelle est écoulée en France. Vous pouvez les déguster crues avec un filet de jus de citron ou de vinaigre d’échalote ou encore une chantilly salée au gingembre. Autre option : des huîtres tièdes. Pour cela, ouvrez les huîtres à la vapeur et récupérez la chair. Faites revenir des petits légumes aux wok et relevez avec un peu d’huile de sésame. Dressez les légumes dans les coquilles d’huîtres et déposez la chair tiède par-dessus.

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Des marrons

Vous aurez de grandes chances de manger à Noël de la volaille, la viande traditionnelle du 25 décembre. Que ce soit une dinde, une pintade, un chapon, une oie… elle sera invariablement accompagnée d’une poignée de marrons poêlés. On peut également s’amuser à farcir le volatile avec un peu de marrons. Mais les marrons peuvent aussi faire partie du dessert avec une bûche à la crème de marrons. Et pourquoi pas en entrée avec un velouté de marrons ?

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Du foie gras

En canapé à l’heure de l’apéritif ou en terrine pour une entrée, c’est un grand classique des fêtes de fin d’année. De canard ou d’oie, le foie gras aime les associations sucrées notamment la figue. L’assaisonnement est capital et au prix de ce met délicat, mieux vaut rester vigilant sur le sel et le poivre ! Pour ceux qui préfèrent le foie frais, snackez des tranches pas trop fines accompagnées d’une poêlée de pommes ou de raisins blancs. Et remplacez le pain blanc par du pain d’épices.

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De la volaille

Les plumes sont de sortie à Noël. Selon le budget ou les envies, vous aurez le choix entre la dinde, la pintade, le chapon, la caille ou l’oie… Pour la dinde, il faut prévoir 45 minutes par kg, à cuire au four. Cette volaille se dessèche facilement, pensez à l’arroser très souvent. La pintade, quant à elle, aime le sucré-salé avec des agrumes ou des pruneaux. L’oie, assez coûteuse, est délicieuse rôtie ; pensez à récupérer le jus de cuisson pour faire des pommes de terre sautées. Tout aussi noble, le chapon s’invite à la table de Noël. Choisissez un chapon de Bresse qui bénéficie d’une AOP et accompagnez-le de champignons à la poêle. Pour la caille, prévoyez une voire deux cailles par personne. Servie rosée, elle se marie agréablement avec le raisin ou le marron.

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Une bûche au dessert

C’est LE dessert par excellence de Noël. Qu’elle soit roulée ou glacée, la bûche se permet toutes les audaces avec un choix de parfums aussi important que la liste écrite au Père Noël. Le roi incontesté des bûches reste le chocolat que l’on peut marier à des oranges confites par exemple ou à une mousse de fruits rouges ou de confiture maison (gelée de coings ou de groseille, confiture d’abricots…).