Clélie Mathias

  • Élections régionales : à qui profitent les attentats ?

    La campagne a beau avoir été interrompue et, pour le PS, elle ne reprendra officiellement que le 28 novembre, mais la question de l’impact des attentats sur le vote aux élections régionales est sur toutes les lèvres.

  • La start-up Macron

    L’expression est de Jean-Christophe Cambadélis. Quand un journaliste a demandé au Premier secrétaire du Parti socialiste de lui parler du nouveau ministre de l’économie, il a eu cette formule : c’est une "start-up". Une start-up qui agace dans son propre camp. Une start-up qui bouscule aussi la droite. Une start-up qui vise haut.

  • Parti socialiste : le retour du front républicain

    La phrase est elliptique mais le sous-entendu ne laisse guère de doute. En déclarant hier que "tout devra être fait pour empêcher" la victoire du FN aux élections régionales de décembre, Manuel Valls ouvre la voie au front républicain. Une stratégie qui divise au PS en particulier et à gauche en général.

  • François Hollande est-il déjà en campagne ?

    Le Président à la bougeotte. Sur le terrain, dans les médias, il est partout. En vue des régionales ? Non. Pour la présidentielle ? Oui !

  • Quand Manuel Valls joue les médiateurs

    Dans un climat social ultra tendu, Manuel Valls est apparu cette semaine dans ses habits de médiateur. Il ménage la chèvre et le chou. Mais dans quel but ?

  • Le tout pour le tout de Nadine Morano

    Le sort de l’eurodéputée sera scellé ce mercredi par la commission nationale d’investitures du parti Les Républicains qui devrait lui retirer sa tête de liste en Meurthe-et-Moselle. Mais Nadine Morano n’est pas du genre à rester les bras ballants en attendant que le couperet tombe. Et Nicolas Sarkozy ne sortira pas indemne de cette polémique.

  • Manuel Valls ou le discours de la méthode

    Le Premier ministre a tenu à nommer sa stratégie. Selon lui, elle est "social-réformiste". Qu’est-ce que cela veut dire ? Et où cela mène-t-il ?

  • Le règne des anti-systèmes : vers la fin des partis politiques ?

    Baisse du nombre d’adhérents, crise de légitimité, défiance, divisions, les partis politiques n’ont plus le vent en poupe. Aujourd’hui, il vaut mieux être anti-système qu’encarté.

  • Les migrants, une aubaine pour le FN

    À trois mois des élections régionales, la crise des migrants ne pouvait pas mieux tomber pour le Front national. Ou comment faire oublier les querelles familiales tout en se recentrant sur les fondamentaux du parti : immigration et insécurité.

  • Pourquoi la Cop21 sera un échec

    Tout simplement parce que les mêmes causes produisent les mêmes effets. Or depuis le décevant sommet sur le climat de Copenhague en 2009, rien n’a changé. Il y a eu quelques déclarations d’intention. Louables mais totalement inutiles tant qu’il n’y aura pas d’accord contraignant et de calendrier précis. Alors si en 6 ans, les États ne sont pas arrivés à se mettre d’accord, pourquoi cela changerait-il en décembre 2015 ?